Ses paysages et sa lumière singulière ont jadis séduit les peintres de l’école lyonnaise, tels que Camille Corot, François-Auguste Ravier ou encore Charles Rouvière.
Plus assez de biens pour la demande
La richesse et la variété de son immobilier séduisent de nombreux acquéreurs. Impossible de dire s’il faut voir un lien entre ces deux phénomènes mais, comme les tableaux de ces célèbres peintres, les logements situés à Morestel ont la cote.
« Nous manquons de biens », remarque d’ailleurs Philippe Lamothe, responsable de l’agence immobilière Imoclik installée dans la commune.
Des plus jeunes aux plus âgés
En tête du palmarès des ventes, les maisons ont toujours autant le vent en poupe, « à condition d’être proposées au bon prix », tempère-t-il.
Il estime le prix moyen d’une maison de plain-pied d’une centaine de mètres carrés, avec un peu de terrain, entre 280 000 € et 290 000 €.
Sur cette base, ces produits sont très recherchés par les jeunes seniors, mais aussi par les familles. Et certains acquéreurs sont même prêts à faire un peu de chemin pour élire domicile à Morestel.
« Nous avons de plus en plus de clients qui n’ont plus les moyens d’acquérir une maison dans les communes aux alentours de Bourgoin-Jallieu et qui viennent ici », indique-t-il.
Ils trouvent un parc immobilier plutôt qualitatif et dans la bonne moyenne des performances énergétiques, puisqu’il date en majorité de la première décennie des années 2000.
Des primo-accédants absents
Les biens haut de gamme, quant à eux, ne parviennent pas véritablement à trouver preneurs. « Les maisons dont les prix atteignent 490 000 € à 500 000 € restent sur le marché. La commune n’est pas vraiment identifiée par les acheteurs en quête de ce type de produits », analyse-t-il.
Et depuis que la crise immobilière s’est installée, les primo-accédants ne frappent plus à la porte de l’agence Imoclik.
« Ils craignent de ne pas obtenir de financement », explique Philippe Lamothe. Leur intérêt pour la commune est d’autant plus fort qu’ils y trouvent tous les équipements et services dont ils ont besoin.
Les appartements manquent
Les appartements se feraient presque rares sur le territoire de Morestel. Et pourtant, là aussi la demande reste plutôt soutenue, notamment de la part de personnes âgées ne parvenant plus à entretenir leur maison, mais aussi d’acquéreurs jeunes.
De fait, les petites comme les grandes surfaces trouvent facilement preneurs. Et la présence d’équipements de domotique ou d’un ascenseur renforce leur attractivité.
Les loyers grimpent
« Nous avions un gros déficit, qui a été en partie comblé depuis trois ou quatre ans, mais la demande est là, et elle entretient ce marché », constate Philippe Lamothe. Les prix s’en ressentent.
Il faut désormais compter autour de 2 900 € le mètre carré pour un appartement ancien. Un montant un peu trop élevé pour les investisseurs qui restent en dehors du marché et ce faisant alimentent un autre phénomène, celui de la pénurie de biens à louer.
Résultat, faute d’un nombre suffisant pour satisfaire les attentes, les loyers ont tendance à monter. Il faut débourser entre 12 et 14 € par mètre carré pour louer un logement à Morestel.
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